Contribution n°2 (Web)
Anonyme
Déposée le 19 septembre 2024 à 10h42
Déposée le 19 septembre 2024 à 10h42
Bonjour
Les zones identifiées pour le photovoltaïque au sol sont très limitées (le long de la voie express). Est ce que ça signifie que d'autres projets ne seront pas acceptés ?
Les zones identifiées pour le photovoltaïque au sol sont très limitées (le long de la voie express). Est ce que ça signifie que d'autres projets ne seront pas acceptés ?
Contribution n°1 (Web)
Par LE BACCON Erwan
Déposée le 15 septembre 2024 à 10h43
Déposée le 15 septembre 2024 à 10h43
Ma contribution:
Je ne peux que constater un manque de volonté sur le sujet d'une grande majorité des 22 communes concernées par les ZAEnR .
En effet, l'exploitation d'énergies primaires renouvelables est efficace à travers un mix de production électrique utilisant différentes sources telles que la biomasse, le solaire, l'hydraulique et l'éolien.
En cela, s'engager dans une politique d'accélération à l'échelle d'un territoire de 380 Km², peu dense, en misant seulement sur l'exploitation du solaire dans un environnement aussi vallonné et boisé sans envisager d'autre possible, ressemble à vouloir en faire sur le sujet "pas trop" quitte à être dans l'inefficacité et tout en restant surtout dans le minimum.
Est-il nécessaire aussi de rappeler, dans un contexte où les dotations à l'attention des petites communes se réduisent à "peau de chagrin", que l'exploitation d'énergies renouvelables ouvre la possibilité de collecter l'IFER à destination des communes et des EPCI dont le montant est proportionné à la puissance installée sur leurs territoires ?
Par contre, mention spéciale aux communes du Tréhou et de Landerneau qui montreraient une volonté de s'engager dans réel projet de mix énergétique.
Pour conclure, j'incite les communes à être mieux éclairées et sensibilisée sur le potentiel que pourrait leur offrir la répartition d'un mix de production électrique de manière équilibrée et diffuse sur leur territoire et plus largement sur celui de la CAPLD .
ELB
Je ne peux que constater un manque de volonté sur le sujet d'une grande majorité des 22 communes concernées par les ZAEnR .
En effet, l'exploitation d'énergies primaires renouvelables est efficace à travers un mix de production électrique utilisant différentes sources telles que la biomasse, le solaire, l'hydraulique et l'éolien.
En cela, s'engager dans une politique d'accélération à l'échelle d'un territoire de 380 Km², peu dense, en misant seulement sur l'exploitation du solaire dans un environnement aussi vallonné et boisé sans envisager d'autre possible, ressemble à vouloir en faire sur le sujet "pas trop" quitte à être dans l'inefficacité et tout en restant surtout dans le minimum.
Est-il nécessaire aussi de rappeler, dans un contexte où les dotations à l'attention des petites communes se réduisent à "peau de chagrin", que l'exploitation d'énergies renouvelables ouvre la possibilité de collecter l'IFER à destination des communes et des EPCI dont le montant est proportionné à la puissance installée sur leurs territoires ?
Par contre, mention spéciale aux communes du Tréhou et de Landerneau qui montreraient une volonté de s'engager dans réel projet de mix énergétique.
Pour conclure, j'incite les communes à être mieux éclairées et sensibilisée sur le potentiel que pourrait leur offrir la répartition d'un mix de production électrique de manière équilibrée et diffuse sur leur territoire et plus largement sur celui de la CAPLD .
ELB
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